Des victimes d'accidents témoignent ...
Paralysée des deux jambes et du bras droit ...
“ Ma mère a été renversée par une voiture alors qu'elle circulait à vélo pour se rendre à son travail.
Paralysée des deux jambes et du bras droit, elle est restée pendant plus d'une année dans un Centre de Rééducation.
Sincèrement,
je pensais que l'assurance de ma mère faisait le nécessaire
Pendant plusieurs mois, nous n'avons pu obtenir de provisions financières, ni même de visite d'un médecin expert de la Compagnie d'Assurance de l'automobiliste.
Sincèrement, je pensais que l'assurance de ma mère faisait le nécessaire.
Les médecins du Centre de Rééducation prévoyant la sortie prochaine de ma mère et n'ayant aucune ressource pour la placer dans un établissement correct, nous avons fait appel à la F.N.V.R. pour nous aider dans nos démarches.
Très rapidement une expertise médicale a été organisée avec la Compagnie d'Assurance adverse.
Un médecin de la F.N.V.R. était avec nous au cours de cette expertise pour défendre nos intérêts.
Un des avocats recommandé par la F.N.V.R. a obtenu une provision substantielle pour trouver un logement adapté pour ma mère.
Les différents préjudices de ma mère ont été correctement évalués avec l'aide de la F.N.V.R. qui a directement négocié avec la Compagnie d'Assurance adverse et ma mère a commencé sa nouvelle vie sans se soucier des problèmes financiers.
Mon frère a perdu l'usage des deux jambes
“ Suite à un accident de moto survenu tout seul, mon frère a perdu l'usage des deux jambes.
Après un séjour dans un hôpital parisien et dans un grand Centre de Rééducation, se posa le problème d'un retour à son domicile ou dans un établissement adapté à son handicap.
N'ayant pas de tiers responsable, nous ne pouvions compter que sur son assurance responsabilité conducteur.
... faire doubler le montant total de l'indemnisation ...
Nous ne comprenions pas bien les différentes clauses qui déterminaient le plafond de l'indemnisation.
Devant l'impossibilité de nous défendre seuls devant la Compagnie d'Assurance qui ne nous donnait aucune explication, nous avons pris contact avec la F.N.V.R.
Grâce à l'intervention d'un médecin de la F.N.V.R. qui a assisté mon frère au cours de l'expertise médicale, il a été décidé que mon frère avait besoin d'une tierce personne pendant 4 heures chaque jour.
Cette disposition, que nous ne connaissions pas mais qui était prévu dans notre contrat d'assurance, nous a permis de faire marcher la clause qui permettait de faire doubler le montant total de l'indemnisation.
Sans l'aide efficace de la F.N.V.R. qui a mis à notre disposition ses médecins et ses juristes, nous n'aurions pas connu l'existence de cette clause et mon frère aurait été indemnisé de moitié.
La voiture a percuté un arbre à la sortie d'un virage
“ Mon fils de 17 ans est parti un soir avec des copains pour fêter l'anniversaire de l'un d'entre eux.
Sur le chemin du retour, la voiture a percuté un arbre à la sortie d'un virage.
Deux des occupants ont été tués et mon fils est resté tétraplégique.
Toute notre vie a basculé en une fraction de seconde.
Pendant de nombreux mois, mon fils est resté dans un Centre de Rééducation, puis nous avons commencé à le ramener à la maison pour le week-end.
Toute notre vie a basculé en une fraction de seconde.
Malheureusement, rien dans notre maison n'était prévu pour recevoir une personne handicapée.
Désespérés, nous avons demandé à la F.N.V.R. de nous conseiller et de nous assister dans nos démarches auprès de la Compagnie d'Assurance du conducteur du véhicule accidenté.
La F.N.V.R. s'est occupé de tout, du début à la fin.
Un médecin diligenté par la F.N.V.R. a assisté notre fils au cours de chacune des réunions d'expertise pour obtenir la meilleure évaluation possible de ses séquelles, en particulier au moment de la consolidation.
Un des avocats recommndé par la F.N.V.R. a pris en charge toutes les démarches auprès de la Compagnie d'Assurance pour obtenir des provisions en fonction de nos besoins.
Avant le retour de notre fils à notre domicile, tout a été discuté, point par point, l'aménagement de la maison ( terrasse, véranda, ascenseur, chambre, salle de bain, climatisation….) de la voiture ...
Il a même été obtenu de nombreuses prestations auxquelles nous ne pensions même pas.
Grâce à la F.N.V.R. qui a pris en charge tout le côté matériel, nous avons pu nous consacrer totalement à notre fils, lui parler, le toucher et constater les moindres progrès qu'il faisait.
Nous tenions à remercier la F.N.V.R. pour son engagement à nos côtés suite à ce drame qui peut malheureusement arriver à chaque famille.
Si je peux vous donner un conseil ...
“ J'ai eu un banal accident de voiture, un choc latéral avec une camionnette qui n'a pas respecté une priorité à droite.
Fracture du fémur - Ostéosynthèse - Rééducation - Ablation du matériel.
Mon assurance a fourni un médecin expert qui m'a assisté au cours des expertises.
On m'a parlé d'I.T.T. [ou D.F.T.], d'I.P.P. [ou D.F.P.], de pretium doloris, de préjudice d'agrément ...
Je ne connaissais rien à ce jargon et faisais confiance à ma Compagnie d'Assurance qui était chargé de défendre au mieux mes intérêts.
On se foutait de moi !
Un jour, j'ai reçu une lettre de mon assurance m'indiquant le montant financier global de mon indemnisation.
On se foutait de moi !
Compte tenu de mes mois de souffrance, de la durée de mon arrêt de travail avec perte de salaire, de mes difficultés à marcher normalement et à pratiquer les sports que je faisais avant, la somme proposée était plus que modeste.
Avant de signer la quittance, j'ai préféré demander l'avis de la F.N.V.R.
Bien m'en a pris, car après étude de mon dossier, il m'a été précisé qu'il était possible d'obtenir d'avantage, mais que la marge de manœuvre serait limitée car il n'était plus possible d'agir sur les conclusions du rapport d'expertise.
Néanmoins, par une simple discussion d'un avocat recommandé par la F.N.V.R. directement avec la Compagnie d'Assurance adverse, j'ai obtenu 3 fois plus que la somme proposée initialement.
Si je peux vous donner un conseil, n'attendez pas votre consolidation et donc l'obtention d'un rapport médical d'expertise définitif pour faire appel à une Association.
Faites vous aider immédiatement après l'accident.
Un chauffard, nous devrions plutôt dire un assassin ...
“ Notre fille de 16 ans revenait de classe sur son cyclomoteur.
Un chauffard, nous devrions plutôt dire un assassin, qui conduisait en état d'ivresse et à une vitesse excessive a percuté le cyclomoteur par l'arrière et a roulé sur notre fille.
Notre fille unique est décédée le soir même à l'hôpital.
Nous étions désemparés, brisés, anéantis.
Après l'enterrement de notre fille, nous avons décidé de nous battre, pour la mémoire de notre enfant, pour qu'il ne soit pas mort pour rien.
Mais, que faire ?
... nous ne voulions pas de cette aumône mais le châtiment du conducteur.
L'assurance du conducteur responsable de l'accident nous a rapidement contactés pour nous proposer de nous indemniser, c'est à dire de nous donner une somme d'argent, dérisoire d'ailleurs, car en France, la vie d'un enfant ne vaut rien.
De toute manière nous ne voulions pas de cette aumône mais le châtiment du conducteur.
Nous avons connu la F.N.V.R. par Internet.
Nous avons pris contact avec cette Association et longuement parlé avec des bénévoles et son président qui, lui aussi, a perdu un fils dans un accident de voiture.
Ensemble, nous avons décidé de nous battre pour notre fille et pour tous les autres enfants en danger sur nos routes.
Un avocat recommandé par la F.N.V.R. a pris en charge le dossier pénal ( car nous avions déposé une plainte ) et nous avons obtenu une condamnation du chauffard de 30 mois de prison dont 12 mois de prison ferme.
Bien entendu, le conducteur a fait appel de cette décision. Peu importe, tôt ou tard, il devra accomplir sa peine.
La F.N.V.R. nous a beaucoup aidé, y compris psychologiquement dans cette dure épreuve et nous avons gardé des liens très forts avec certains bénévoles de la Fédération.